Présentation de l'équipe

L'histoire d'un baroudeur

Ali Abdou
   Correspondant du programme francais de la DW au Niger, je suis arrivé au journalisme, avant tout par passion. Mes études de journalisme ne sont intervenues qu'après plusieurs années de pratique. Durant mes douze ans de profession, j'ai essentiellement évolué à la radio, où j'ai eu une expérience assez riche. Ceci m'a permis de parcourir le Niger dans tous ses recoins. Mon statut de correspondant de la DW m'a donné la possibilité de faire des allers retours entre le Niger et le Nigéria, où je couvre plusieurs événements sociaux et politiques. J'ai effectué plusieurs séjours au Benin, au Tchad et au Burkina, toujours dans le cadre de ma profession. En dehors du journalisme, je m'intéresse aussi au cinéma. J'ai actuellement un projet de série télévisée, dont le scénario est déjà terminé.

Ami la star

Aminata Kabore
Je m’appelle Aminata Kabore. J’anime le midi magazine sur Radio Palabre – 92.2 FM – une radio locale communautaire de la ville de Koudougou située à 100 km à l’Ouest de la capitale du Burkina Faso. Mes émissions préférées restent l’émission MICROFEMME et LE CERCLE DES ENFANTS. Je travaille à me spécialiser en journalisme financier pour mieux informer mon public sur les microfinances, en particulier les femmes qui ont besoin de microcrédits pour améliorer un peu leurs conditions de vie. Bien que je sois la seule femme à la radio, je collabore bien avec mes autres collègues. Je souhaite même collaborer avec des journalistes d’autres horizons pour approfondir mes connaissances en journalisme. J’ai en projet la création d’une association de femmes pour la promotion de l’alphabétisation des femmes en milieu rural. Pendant mon temps libre, j’aime faire la cuisine pour ma famille, regarder la télé et faire du sport de temps en temps.

Fati, la sahelienne

Fati Sofo
De nationalité nigérienne, je suis née à Gaya, une ville située à environ 300 km au Sud Ouest de la capitale Niamey et à 6 km de la frontiere béninoise. J’ai passé mon enfance entre les huit régions que compte le pays. Après mon diplome à l’Institut National de la Jeunesse et des Sports, je me lance dans le journalisme à la radio Anfani. Aujourd’hui je m’investis dans la collecte, le traitement et la présentation des informations. Auparavant, entre 2006 et 2008, j’ai concilié mon travail de journaliste avec d’autres expériences liées à des projets et ONG, notamment CARE International et un Projet de Mini Aduction d’Eau Potable par Système Voltaique. Bien qu´étant la seule femme dans notre rédaction de langue francaise, je n’ai pas le sentiment d’être discriminée. Je suis passionnée de sport, notamment de hand ball et d’athlétisme. J’aime aussi la cuisine et la musique (Blues et traditionnelle).

Le Chroniqueur Boursier Béninois

Flavien Aidjinou
Hervé Flavien AIDJINOU est né le 12 Juin 1982 à Cotonou au Bénin d’une famille de huit enfants.  De ses  deux parents, tous deux enseignants à la retraite, il a hérité un certain nombre de vertus  dont l’équité, la bonne foi,  la culture du travail bien fait et le respect de l’autre. Ses études  à la Faculté des sciences Economiques et de Gestion de l’Université d’Abomey Calavi, l’ont  attiré vers  le journalisme économique. En 2004, il suit une formation d’initiation  au Journalisme audiovisuel à la station universitaire de radiodiffusion, RADIO UNIVERS où il devient plus tard Rédacteur en chef puis Secrétaire général. Depuis 2009, Flavien AIDJINOU officie sur l’émission  « Week end Matin » pour la télévision Nationale du Bénin (ORTB) comme Chroniqueur Boursier et Chroniqueur 7/7. Parallèllement, il prépare un Master  en Management de Projets et Organisation à l’Institut CERCO. La musique, le foot et les voyages constituent ses loisirs.

Plus journaliste que communicateur

Grégoire B. Bazie
Titulaire d'une maitrise en Sciences et Techniques de l'information et de la communication de l'Université de Ouagadougou, Grégoire B BAZIE se considère plus comme un journaliste qu'un communicateur. Ainsi, malgré sa spécialisation en communication d'entreprise et de relations publiques, il va très vite se lancer dans le journalisme, notamment en presse écrite. En mai 2005, il prend part à un test de recrutement du groupe de presse burkinabé Les Editions, Le Pays. Il est le premier sur la liste des candidats retenus. Il va passer 4 ans au sein du groupe, où, successivement, il va assumer les fonctions de journaliste reporter et d'éditorialiste (mai 2005 - mars 2007) ; de rédacteur chef de l'Hebdomadaire culturel du groupe Évasion (mars 2007- octobre 2007) ; et chef de l'Agence de Bobo Dioulasso (octobre 2008- avril 2009). En janvier 2010, il est éditorialiste au quotidien Le Révolutionnaire, qui deviendra plus tard Le Quotidien. D'éditorialiste, Grégoire B BAZIE va assumer de juin à aout 2010 les fonctions de directeur de la Rédaction du Quotidien. Depuis septembre 201O, il a rejoint le quotidien burkinabé en ligne Lefaso.net, où il occupe actuellement le poste de directeur de la rédaction.

Malgré son grand penchant pour le journalisme, M. BAZIE reste ouvert à la communication, domaine dans lequel il s'est spécialisé pendant sa formation universitaire. En effet, c'est en entreprise, précisément à la Societe nationale d'électricité du Burkina (SONABEL) qu'il a fait ses premières expériences professionnelles en tant que commumicateur stagiaire à la Direction communication et Relations publiques (DCRP) de ladite société. Et plus récemment, il a a été de juin a septembre 2009 consultant en communication à la Représentation nationale du Centre régional pour l'eau potable et l'assainissement à faible cout (RN-CREPA).

Hawa, la princesse

Hawa Sangare
Née à Bamako au Mali, de Nationalité Burkinabè. Passionnée de télévision dès son bas âge, Hawa Israel SANGARE voulait emboiter le pas d’une tante journaliste. Son rêve se réalisera pratiquement en Janvier 1994: elle suit une formation en communication au CFCA (Centre de formation en Communication Chrétienne à Abidjan) en Cote d’Ivoire en 1996, passe ensuite deux ans dans une École Professionnelle, Centre de Formation Professionnele en Information (CFPI) l’actuel l’ISTIC (Institut des Sciences et Techniques de l” Information et de la Communication) de 1996 a 1998. Depuis 2000, elle est Chargée de Programmes à la Radio Evangile Développement. Elle aime le cinema; sport favori le Basket-ball, elle a joué dans l’équipe Inter scolaire et nationale. Plusieurs matchs à l’extérieur du Burkina. A la Radio, elle anime des émissions de santé, de droits de l’homme et une méditation tous les matins à partir de 06H20mns.  

Parcours d’un «Ouvrier de la plume» 

Grégoire
Rien n’est facile dans la vie! Pas même le journalisme. Pourtant, ce métier, tout aussi passionnant que difficile, et que j’ai appris à connaitre depuis maintenant quatre ans, répond bien à mes aspirations vocationnelles, car il aiguise ma curiosité, me permet de découvrir les profondeurs du Burkina et de rencontrer de nouvelles personnes. Journaliste au Groupe de presse Fasozine depuis février 2009, je réalise des reportages et assure, par moments, la mise en ligne des articles sur le site internet de l’organe. Passionné de sport, j’ai d’abord travaillé pour le desk sport du journal avant de m’intéresser aux questions politiques. Après 4 ans d’études au département «communication et journalisme» de l’Université de Ouagadougou, j’ai effectué, en 2006, un stage académique aux Editions Le Pays, un quotidien privé du Burkina, puis aux Editions Sidwaya (le quotidien d’Etat), en 2008. J’aime le sport, la politique, la lecture et la musique. 

Un journaliste au pays des hommes intègres « Burkina Faso »

Jim Ouattara
Jim Moumouni OUATTARA un jeune burkinabé exerçant le métier de journaliste dans son pays. Je suis rédacteur-présentateur à la radio Savane FM ; c’est une radio de proximité qui est installée à Ouagadougou la capitale burkinabé avec deux  antennes régionales à l’ouest et au nord du pays. Cette station est également écoutée sur le net à l’adresse: http://www.savanefm.bf. Je suis un jeune qui est journaliste et non un jeune journaliste car je suis dans le milieu de la presse depuis l’âge de quinze ans et ce, jusqu’à nos jours où je suis à la lisière de la trentaine. Je suis arrivé dans le milieu par passion, une passion qui était nourrie par la volonté naturelle de toujours être informé à temps et de porter l’information à ceux qui n’avaient pas la possibilité de s’informer parce qu’occupés à accomplir d’autres tâches quotidiennes. J’ai également toujours voulu que ceux qui sont informés le soient par moi; alors, le meilleur créneau pour accomplir cette mission ne pouvait etre autre que la presse. J’ai ainsi commencé en 1995 à la RTB ancienne RNB-station régionale de Radio-Gaoua en tant qu’Animateur-Producteur, puis reporter et présentateur. Ces différentes étapes ont été précédées chacune d’une phase théorique qui a été dispensée par des professionnels et ainés qui sont toujours dans le milieu : Zoumana TRAORE conseiller technique en sciences de l’information et de la communication et chef des programmes à la RTB/télé et Gervais HIEN conseiller technique en sciences de l’information et de la communication chef du service presse au siège du FESPACO J’ai donc baigné dans le milieu depuis lors jusqu’à l’université à la suite d’un bac A4 option lettres et philosophie où j’ai opté pour des études en sociolinguistique anglaise.

Je suis de nos jours un journaliste qui exerce dans tous les formats de média, car mes productions se trouvent aussi bien en radio-télé, en presse écrite et en ligne où j’anime un blog sur la culture. Je m’intéresse beaucoup à la technologie multimédia et l’évolution de la technologie en général, toujours avec le souci d’être aux premières loges des informés. J’aime les voyages, la musique, le cinéma, le théâtre, le basket, la natation, les balades et parties de causeries entre amis. Ma philosophie : « il faut toujours placer l’homme avant l’homme »


L'homme à la casquette


Jonas Kafando
Né au Sud du pays des Hommes intègres, de parents burkinabé, Jonas Kafando, passe la majorité de son enfance dans cette partie du pays. Passionné dès son bas age par la connaissance d´autrui, il désire en savoir plus sur sa société, ce qui le conduit à l’université de Ouagadougou, où il poursuit des études en sociologie. En 2006 il passe le concours des assistants en journalisme, organisé par l’État Burkinabé. Après sa formation à l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ex CFPI), d´où il sort en 2008, nanti du diplôme de niveau II, il est affecté à la radiodiffusion Télévision du Burkina (RTB). Jonas est reporter et producteur d’émissions à la Radio Canal Arc en Ciel, la station FM de la RTB. Sans perdre de vue ses études en sociologie, il s’est consacré à la lutte contre le chomage des jeunes au Burkina, à travers une émission hebdomdaire Code Emploi, diffusée sur trois sites internet de la capitale. Il aime la musique, la technologie et l’art.

La Passion du Micro
 
Rachelle Somé
Passionnée  par le cinéma depuis son enfance, c’est finalement vers le journalisme qu’elle s’oriente  après  son secondaire ; cet amour pour le journalisme est né quand elle a été choisie par ses camarades à Ouahigouya, sa ville d’adoption située  au nord du Burkina, pour animer une émission sur les scolaires sur une radio locale ; piquée depuis lors par le virus du journalisme, et après des études en communication et journalisme à l’université de Ouagadougou, elle a fait des stages à la radio nationale, à la radio francophone avant de poser ses valises  à  Radio Pulsar il y a deux ans. Rachelle aime surtout la lecture et est très engagée dans la cause de la femme à travers des associations.  La «petite journaliste » a de grandes ambitions pour sa carrière de journalisme, mais n’oublie pas pour autant son premier amour, le cinéma. Elle a déjà à son actif un court métrage qui est loin d’être le dernier. Malgré son programme chargé, elle arrive tant bien que mal à pratiquer son sport favori le karaté. Rachelle est convaincue que « l’homme sans l’homme n’est rien, la meilleure des connaissances est d’aller vers son prochain ».


Rabo, le Développeur

Soumaila Rabo
A l’Université de Ouagadougou où j’étais étudiant entre 1998 et 2007, des amis s’amusaient à me coller cette étiquette de développeur. En fait, cette drôle de singularité ne concernait pas que moi. Elle était commune à cette partie de notre promotion qui se spécialisait en communication pour le développement. Mais que peut bien signifier ce terme qui n’existe pas dans le sens que nous voulons lui donner en français ? Les développeurs n’existent qu’au cinéma et dans l’électronique selon le dictionnaire Le petit Robert… Mes amis et moi voulions en faire notre néologisme, notre mot à nous, avec un contenu qui exprime ce que nous voulons. Autrement dit, nous voulions qu’il désigne « non celui qui apporte le développement sur un plateau d’or mais celui qui aide à poser les vrais questions sur le développement ». Ma conviction, c’est qu’en journalisme comme en philosophie, les questions sont plus importantes que les réponses et chaque réponse devient une nouvelle question. C’est aussi aujourd’hui tout le sens du journalisme que je fais. Je le pratique comme je peux philosopher dans un esprit totalement libéral dont la quête est la vérité, la justice, le bien-être… 

A la radio Savane FM (103.4 MHZ) émettant de Ouagadougou où je travaille comme rédacteur en chef depuis 2004, je m’attache ainsi à susciter chez moi-même et chez les autres, les bonnes questions qui provoquent naturellement les vrais réponses. Ironiquement, jusqu’à son assassinat en 1998, le journaliste burkinabè Norbert Zongo disait toujours  « si tu as faim, demandes toi qui a mangé ton plat… » Mon journalisme est actualité, mais surtout analyse, souvent politique car « la question du développement est politique et d’abord politique » (Réné Dumont). Mon journalisme est aussi langue nationale (mooré) dans un contexte d’analphabétisme majoritaire. Mon journalisme dépasse mes projets personnels. Il existe pour les autres. C’est pourquoi je veux le faire avec les autres  et pour les autres. Je suis passionné du partage d’idées. C’est mon loisir depuis que je travaille en 2002.

Razak et la Radio

Razak Idrisssa
Depuis 2008 il est le rédacteur en Chef de la deuxieme Radio privée du pays. A peine cinq mois après son entrée au sein de la rédaction de la Radio Anfani, le jeune ABDOUL-RAZAK IDRISSA (il n’a que 27 ans) se fera remarquer par ses collègues et ses responsables. Rigoureux, dynamique et entreprenant avec un sens des responsabilités qui lui est propre, il aime le travail bien fait. Ce sont ces qualités, en particulier sa perception de la responsabilité, qui lui valurent cette promotion, alors qu’il avait moins de trois années d’exercice du metier. Ces qualités importantes pour le journalisme, Razak les tient de l´éducation recue. Ainé d’une famille de 7 enfants, il apprend vite que seul le travail -et le travail bien fait- paie. Étant jeune, il imitait les grandes stars de la radio nationale qu’il écoutait presque tout le temps avec un petit poste qu’il tenait à chaque instant collé à son oreille. C´est par pure vocation qu´il choisit de s’inscrire dans une école de journalime après son baccalauréat, d’où il sortit nanti d’un diplôme en journalisme audio visuel option radio.

Les Formateurs de l'Académie de la Deutsche Welle

Patrick Leusch
Patrick Leusch dirige le département du développement de projets à la Deutsche Welle Akademie (DWA), la principale agence de développement d'Allemagne dans le domaine des médias. À ce titre, il met sur pied des projets relatifs aux médias et il organise les activités internationales de mise en réseau et de collecte de fonds de la DWA. Voici le blog de son équipe. Patrick Leusch est spécialisé dans les projets de consultance et d'encadrement destinés à renforcer les capacités organisationnelles d'entreprises de médias. Il encadre des journalistes et des responsables de programmation de chaînes de télévision et de radio en Afrique, dans le monde arabe et en Asie depuis 1998. Il a exercé pendant plusieurs années une fonction de rédacteur et de journaliste pour d'importantes chaînes de télévision et de radio d'Allemagne. Il a également occupé pendant plusieurs années le poste de correspondant adjoint en Afrique de l'Ouest pour ARD, la télévision publique allemande. Né en Belgique, il est aujourd'hui âgé de 46 ans.


Gerlind Vollmer
Passionée des images et des histoires Gerlind Vollmer travaille depuis plus de dix ans surtout à la télévision. Pour la Deutsche Welle TV elle réalise des reportages et des portraits. Regulièrement elle travaille aussi pour le département de politique internationale de la Deutsche Welle TV à Berlin. Elle aime voyager, souvent en tant que reporter images. Une fois le tournage terminé, elle monte et écrit ses propres reportages, qui sont placés sur l’internet après diffusion. Voici quelques exemples. Avec sept autres collègues elle entretient un bureau de presse à Berlin. Depuis deux ans, Gerlind Vollmer travaille comme formatrice pour la Deutsche Welle Akademie. Surtout dans les pays francophones, mais elle profite aussi des sa connaissance de la langue russe pour former des journalistes dans les pays de l’ancienne Union Soviétique. Gerlind Vollmer aime la montagne et le sport, notamment ce qu'on appelle 'German Wheel' ou bien la roue vivante.


Michael Tecklenburg
Michael Tecklenburg, Directeur Adjoint de la Section Afrique de la Deutsche Welle Akademie, démarre sa carrière journalistique en 1983 après avoir terminé des études en sciences de mass-média. Pendant plusieurs années, il travaille pour diverses chaînes de télévision publiques et privées en tant que reporter, rédacteur en chef et aussi comme producteur de télévision. Cette experience lui permet de combiner ses tâches professionelles avec sa passion du voyage. Au cours des années 1992-1993 Michael Tecklenburg participe à l´installation de la première chaîne de télévision  privée en Sibérie, Russie. En 2005 la Deutsche Welle AKADEMIE le charge de réaliser un vaste project « défi »: le déveoppement et la mise en place d’une émission «Actualités internationales» pour la «Radio-Television Afghanistan» à Kaboul, Afghanistan. Depuis son retour à Bonn il s’occupe de l’organisation des formations en Afrique. Au Sénégal, il crée le premier atelier journalistique «Reporter pour les consommateurs » en collaboration avec des organisations de consommation locales. Récemment il a dirigé un workshop «Film-Training» à Nairobi. L’objectif de cet atelier était de renforcer l’économnie cinématographique kenyane.


Christine Harjes
Christine Harjes: Toute petite « Je veux aller en Afrique » racontent mes parents était l'une de mes phrases préférées. A l'époque, ma famille se demandait déjà pourquoi j'eprouvais autant le désir d'aller en Afrique? C'est seulement plus de 20 ans plus tard que je découvre ce merveilleux continent. Une belle expérience qui me ramène encore et toujours en Afrique! Depuis quelques années je me suis spécialisée dans les questions africaines à la rédaction allemande de la Deutsche Welle où je travaille pour l'émission Fokus Afrika. Je voyage beaucoup en Afrique où je forme régulièrement des journalistes dans différents pays (Niger, Ghana, Rwanda, ...). J’adore le cinéma et la musique. Et, chaque fois que j'ai un peu de temps libre, j'apprends la Danse de Guinée.

Barbara Gruber
Née à Londres d'un père allemand et d'une mère francaise, Barbara Gruber se considère avant tout comme européenne. Son enfance, passée entre La Paz, Bonn, Moscou et Los Angeles, a contribué a aiguiser sa curiosité et lui a donné le gout de la vie transcontinentale. Après un diplôme de l'Institut d'Études Politiques de Paris et un Master en Relations Internationales de l'Université de Columbia à New York, elle se dirige vers le journalisme. Un volontariat à la Deutsche Welle la conduit à Cologne, Berlin, Bruxelles et Paris. De 2002 à 2009 elle occupe un poste de rédactrice, présentatrice et reporter à la rédaction européenne de la Radio de la Deutsche Welle, où elle est responsable des émissions Inside Europe et Network Europe. En 2006 elle est parallèlement sollicitée comme formatrice pour l'académie de la Deutsche Welle, qu'elle rejoint à temps plein en 2009 en tant que responsable de projets au sein de l'équipe Afrique. Elle pratique le Yoga, est passionnée de danse, et bien sûr de voyages, dont on peut régulièrement trouver le récit sur son blog "Petites et Grandes Aventures".